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Affiche QUAND ON SERA GRAND

En tournée en 2024/2025

Durée : 1h15

Tout public

Contact tournée :

Elodie Destigny
09 86 27 29 55 / 06 49 46 39 06

elodie@pmproductions.fr

QUAND ON SERA GRAND

 

AVEC : Hélène Zidi et Benjamin Carette

Texte : Jean-Pierre Brouillaud

Adaptation et mise en scène : Hélène Zidi

Assistanat mise en scène : Achille Moleka

Décor : Jean-Michel Adam

Création lumières : Denis Koranski

Création vidéos : Petronille Leroux & Lou Zidi

Création son : Alain Governatori

Une production d'Hélène Zidi Productions et B2J Production 

Une diffusion de Prométhée Productions

Leur mère vient de mourir. Jeanne et Jean se retrouvent dans la maison de vacances familiale.

Elle souhaite la vendre, il veut la conserver.

Ce désaccord purement matériel va faire remonter à la surface des incompréhensions plus profondes, des rancunes, des sentiments amers, mais aussi les souvenirs joyeux de l’enfance.

Entre rires et larmes, cette sœur et ce frère vont tenter de retrouver une complicité oubliée et de retisser un lien abîmé par les années qui filent et les non-dits qui s’accumulent ...

Note d'intention de mise en scène - Hélène Zidi

Après la disparition brutale de mon frère Julien, j’ai eu envie de parler de l’amour fraternel, qui se construit souvent entre ce que l’on projette de notre enfance et la réalité. J’ai ressenti, ce jour là, qu’il était important de se parler avant qu’il ne soit trop tard...

Dans la pièce, tout comme mon personnage, je suis l’ainée, la protectrice, celle qui a grandit trop vite, qui endosse trop de responsabilité pour son âge... La « Maman bis ».

Ce texte, sur l’enfance, le temps qui passe et s’efface, me permet de traiter d’un sujet profond avec légèreté, humour et tendresse.

Car c’est dans cet équilibre que je tends à encrer mon travail ; apporter de la comédie pour laisser place à une faille qui fait naitre le drame. 

Le troisième personnage de la pièce est notre décor qui prend vie par les apparitions subtiles d'une création vidéo poétique mêlant les souvenirs au temps qui passe. 

Cette scénographie incarne non seulement l’enfance, mais aussi et surtout la grande absente pourtant au centre du récit, la mère. 

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